Tourisme – Baie-des-Rochers – Route Bleue

Identification du site Numéro du site : LM18
Nom du site : Phare du Cap au Saumon
Localisation du site: Latitude : N47° 46’ 08.8’’ Longitude : W69° 54’ 24.0’’

Description de la rive et accessibilité

Rochers avec une petite crique d’environ 5 m de large et 7 m de profond. Accessibilité pour kayakistes précis ou qui n’ont pas peur de cogner leurs embarcations. Ce site nécessite, pour embarquement-débarquement, que l’on soit capable de prendre pied sur des escarpements rocheux, (ou à partir de) et naviguer dans sur un plan d’eau ouvert avec fort courant. Fragilité du site : Site complètement remis à neuf durant les six dernières années par M. Noreau et ce, entièrement à ses frais. Grande préoccupation de ce dernier pour les risques d’incendies ainsi que pour le respect des bâtiments et de l’environnement. Zonage temporel selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Zone 2 (protection spécifique) du 21/10 au 31/12 et zone 3 (protection générale) du 01/01 au 20/10. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endo de la carte couvrant les cinq derniers sites de La Malbaie et le premier site de Saint-Siméon comportera un petit résumé historique et la toponymie de la baie de Port-au-Saumon. Deux camps de vacances à vocation scientifique se situent dans la baie, le Camp l’Ère de l’Estuaire et le Camp écologique de Port-au-saumon. Un descriptif de leur mission et de leurs services est ici pertinent. De plus, la présence d’un phare à Cap Saumon, qui a été complètement restauré au cours des dernières années, nous amène à décrire ce passage de l’histoire de la navigation côtière du Saint-Laurent. Le territoire désigné comme étant la Réserve mondiale de la Biosphère de Charlevoix est défini par les bassins versants de la Rivière du Gouffre et de la Rivière Malbaie. Le dernier site de la Route bleue de Charlevoix inclut à l’intérieur de cette limite est le site de Cap Saumon (LM18). Tous les sites en aval de ce dernier, à l’exception de PRSF1 et PRSF2, font partie du territoire de Réserve mondiale de la Biosphère de Charlevoix. Cette désignation officielle du programme MAB de l’UNESCO a été attribuée en 1989 à la région.

Galerie

Notez que ces endroits sont compris dans toute la région de Saint-Siméon et pas seulement Baie-des-Rochers.

Traversiers

Pour des informations concernant le traversier vers Rivière-du-Loup et son horaire, cliquez ici.

Description de la rive et accessibilité :

Rampe de mise à l’eau fonctionnelle, rive complètement rocheuse, mise à part le fond de la baie où l’on retrouve une petite zone de foins salés. Présence de Livèche écossaise (persil de mer) d’où son toponyme. Fragilité du site : Zone 4 (utilisation générale) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit premiers sites (SS1 à SS8) de Saint-Siméon comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur Port-au-Persil, Saint-Siméon et Port-aux-Quilles. La petite chapelle protestante de Port-au-Persil, icône photographique de la région, rappelant les origines écossaises des premiers habitants de ce hameau, mérite d’être relatée. Ouvert d’avril à décembre, le traversier Saint-Siméon – Rivière-du-Loup revêt une importance au niveau de la liaison entre les deux rives du Saint-Laurent dans l’estuaire moyen.

Description de la rive et accessibilité :

Le Camping municipal de Saint-Siméon est adjacent aux installation portuaires du Traversier Saint-Siméon – Rivière-du-Loup. Une plage de sable fin de 500 mètres de longueur rend facile la mise à l’eau de petites embarcations. Toutes les facilités d’un camping commercial moderne y sont disponibles. Au niveau du stationnement, pour une personne qui n’est pas client du Camping, le stationnement du quai des traversiers peut être utilisé. Par contre, ce dernier est très achalandé et rapidement plein en période estivale. Fragilité du site : Zone 4 (utilisation générale) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit premiers sites (SS1 à SS8) de Saint-Siméon comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur Port-au-Persil, Saint-Siméon et Port-aux-Quilles. La petite chapelle protestante de Port-au-Persil, icône photographique de la région, rappelant les origines écossaises des premiers habitants de ce hameau, mérite d’être relatée. Ouvert d’avril à décembre, le traversier Saint-Siméon – Rivière-du-Loup revêt une importance au niveau de la liaison entre les deux rives du Saint-Laurent dans l’estuaire moyen.’

Description de la rive et accessibilité :

Accès routier facile, grand stationnement. Accessible par la mer en tout temps, plage rocheuse. L’endroit le plus simple du secteur pour une mise à l’eau d’excursion courte durée n’impliquant pas de nuitée. Fragilité du site : Zone 4 (utilisation générale) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit premiers sites (SS1 à SS8) de Saint-Siméon comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur Port-au-Persil, Saint-Siméon et Port-aux-Quilles. La petite chapelle protestante de Port-au-Persil, icône photographique de la région, rappelant les origines écossaises des premiers habitants de ce hameau, mérite d’être relatée. Ouvert d’avril à décembre, le traversier Saint-Siméon – Rivière-du-Loup revêt une importance au niveau de la liaison entre les deux rives du Saint-Laurent dans l’estuaire moyen.

Description de la rive et accessibilité :

Joli camping avec otus les services en bordure du Saint-Laurent, et qui lui donne accès à tout cycle de la marée. Une cinquante de sites sur le camping en fait une destination familiale et relativement calme. À marée basse, la batture présente quelques grosses et varech à éviter, mais en étant prudent cela ne cause pas de problème. Fragilité du site : Aire de concentration d’oiseaux aquatiques, un habitat faunique cartographié et protégé en 2007 en vertu de la Loi sur la conservation et de mise en valeur de la faune (ministère des Ressources naturelles et Faune Québec). Zone 4 (utilisation générale) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit premiers sites (SS1 à SS8) de Saint-Siméon comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur Port-au-Persil, Saint-Siméon et Port-aux-Quilles. La petite chapelle protestante de Port-au-Persil, icône photographique de la région, rappelant les origines écossaises des premiers habitants de ce hameau, mérite d’être relatée. Ouvert d’avril à décembre, le traversier Saint-Siméon – Rivière-du-Loup revêt une importance au niveau de la liaison entre les deux rives du Saint-Laurent dans l’estuaire moyen.

Description de la rive et accessibilité :

Petite plage de sable avec un estran court accessible à tous les cycles de la marée. Pas d’accessibilité terrestre. Située juste avant le premier cap rocheux visible depuis Saint-Siméon. Fragilité du site : Aire de concentration d’oiseaux aquatiques, un habitat faunique cartographié et protégé en 2007 en vertu de la Loi sur la conservation et de mise en valeur de la faune (ministère des Ressources naturelles et Faune Québec). Zone 4 (utilisation générale) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit premiers sites (SS1 à SS8) de Saint-Siméon comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur Port-au-Persil, Saint-Siméon et Port-aux-Quilles. La petite chapelle protestante de Port-au-Persil, icône photographique de la région, rappelant les origines écossaises des premiers habitants de ce hameau, mérite d’être relatée. Ouvert d’avril à décembre, le traversier Saint-Siméon – Rivière-du-Loup revêt une importance au niveau de la liaison entre les deux rives du Saint-Laurent dans l’estuaire moyen.

Description de la rive et accessibilité :

La petite plage au fond de l’Anse de la Ciboulette est en sable et roches. Presque pas d’estran à marée basse. Aucune accessibilité terrestre. À partir de ce site vers plus en aval. Il est important de multiplier le nombre possible de sites, car ce secteur est plus à risque (parois rocheuses, eau très froide, fort courant, secteur éloigné des secours, etc.). Fragilité du site : Aire de concentration d’oiseaux aquatiques, un habitat faunique cartographié et protégé en 2007 en vertu de la Loi sur la conservation et de mise en valeur de la faune (ministère des Ressources naturelles et Faune Québec). Zone 4 (utilisation générale) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit premiers sites (SS1 à SS8) de Saint-Siméon comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur Port-au-Persil, Saint-Siméon et Port-aux-Quilles. La petite chapelle protestante de Port-au-Persil, icône photographique de la région, rappelant les origines écossaises des premiers habitants de ce hameau, mérite d’être relatée. Ouvert d’avril à décembre, le traversier Saint-Siméon – Rivière-du-Loup revêt une importance au niveau de la liaison entre les deux rives du Saint-Laurent dans l’estuaire moyen.

Description de la rive et accessibilité :

Superbe plage de sable à l’intérieur d’une grande baie où se termine une rivière. Accessible même à marée basse avec une batture de 200 m. Pas d’accès terrestre. Fragilité du site : Aire de concentration d’oiseaux aquatiques, un habitat faunique cartographié et protégé en 2007 en vertu de la Loi sur la conservation et de mise en valeur de la faune (ministère des Ressources naturelles et Faune Québec). Zone 2 (protection spécifique) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit premiers sites (SS1 à SS8) de Saint-Siméon comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur Port-au-Persil, Saint-Siméon et Port-aux-Quilles. La petite chapelle protestante de Port-au-Persil, icône photographique de la région, rappelant les origines écossaises des premiers habitants de ce hameau, mérite d’être relatée. Ouvert d’avril à décembre, le traversier Saint-Siméon – Rivière-du-Loup revêt une importance au niveau de la liaison entre les deux rives du Saint-Laurent dans l’estuaire moyen.

Description de la rive et accessibilité :

Bonne option pour accoster dans le secteur du phare du Cap de la Tête aux Chiens si l’on ne peut accéder à ce dernier. Plutôt ardu et difficile d’arrêter à cet endroit à marée basse à cause des grosses roches se découvrant. Pas d’accès terrestre. Fragilité du site : Aire de concentration d’oiseaux aquatiques, un habitat faunique cartographié et protégé en 2007 en vertu de la Loi sur la conservation et de mise en valeur de la faune (ministère des Ressources naturelles et Faune Québec). Zone 2 (protection spécifique) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit premiers sites (SS1 à SS8) de Saint-Siméon comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur Port-au-Persil, Saint-Siméon et Port-aux-Quilles. La petite chapelle protestante de Port-au-Persil, icône photographique de la région, rappelant les origines écossaises des premiers habitants de ce hameau, mérite d’être relatée. Ouvert d’avril à décembre, le traversier Saint-Siméon – Rivière-du-Loup revêt une importance au niveau de la liaison entre les deux rives du Saint-Laurent dans l’estuaire moyen.

Description de la rive et accessibilité :

Paroi rocheuse avec quelques cavités naturelles pouvant servir d’escalier de fortune. Accessibilité pour kayakistes précis ou qui n’ont pas peur de cogner leurs embarcations. Ce site nécessite, pour embarquement-débarquement, que l’on soit capable de prendre pied sur des escarpements rocheux, (ou à partir de) et naviguer dans sur un plan d’eau ouvert avec fort courant. Fragilité du site : Aire de concentration d’oiseaux aquatiques, un habitat faunique cartographié et protégé en 2007 en vertu de la Loi sur la conservation et de mise en valeur de la faune (ministère des Ressources naturelles et Faune Québec). Zone 2 (protection spécifique) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit sites de Saint-Siméon compris entre Port-aux-Quilles et Baie-des-Rochers comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur. Un fait intéressant est à exploiter avec le débarquement des goélettes à fond plat à l’intérieur de ces deux baies. Un autre fait historique relatif à la navigation réside aussi dans l’appellation de la Coulée des Mâts, nommé ainsi pour l’utilisation des grands pins blancs qui y poussaient pour en faire des mâts de navires. De plus, la présence d’un phare au Cap de la Tête aux Chiens, qui commence maintenant à être restauré, nous amène à décrire ce passage de l’histoire de la navigation côtière du Saint-Laurent.

Description de la rive et accessibilité :

Premier site pour accoster après l’Anse à Boudin. Très petite plage rocheuse entourée de parois. Accessibilité pour kayakistes précis, qui n’ont pas peur de cogner leur embarcation. Fragilité du site : Zone 2 (protection spécifique) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit sites de Saint-Siméon compris entre Port-aux-Quilles et Baie-des-Rochers comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur. Un fait intéressant est à exploiter avec le débarquement des goélettes à fond plat à l’intérieur de ces deux baies. Un autre fait historique relatif à la navigation réside aussi dans l’appellation de la Coulée des Mâts, nommé ainsi pour l’utilisation des grands pins blancs qui y poussaient pour en faire des mâts de navires. De plus, la présence d’un phare au Cap de la Tête aux Chiens, qui commence maintenant à être restauré, nous amène à décrire ce passage de l’histoire de la navigation côtière du Saint-Laurent.

Description de la rive et accessibilité :

Plage rocheuse en pente, entourée d’une parois au Nord et d’une forêt de feuillus à l’Ouest. Accessibilité facile vue la longueur de l’Anse. Forêt de feuillus permettant d’y installer quelques plates-formes pour campement rustique. Fragilité du site : Zone 2 (protection spécifique) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit sites de Saint-Siméon compris entre Port-aux-Quilles et Baie-des-Rochers comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur. Un fait intéressant est à exploiter avec le débarquement des goélettes à fond plat à l’intérieur de ces deux baies. Un autre fait historique relatif à la navigation réside aussi dans l’appellation de la Coulée des Mâts, nommé ainsi pour l’utilisation des grands pins blancs qui y poussaient pour en faire des mâts de navires. De plus, la présence d’un phare au Cap de la Tête aux Chiens, qui commence maintenant à être restauré, nous amène à décrire ce passage de l’histoire de la navigation côtière du Saint-Laurent.

Description de la rive et accessibilité :

Plage de sable. Accessibilité facile vue la longueur de l’Anse. Forêt mixte permettant d’y installer quelques plates-formes pour campement rustique. L’accessibilité la plus facile pour un kayakiste entre l’Anse à Boudin et l’Anse de Sable. Fragilité du site : Zone 2 (protection spécifique) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit sites de Saint-Siméon compris entre Port-aux-Quilles et Baie-des-Rochers comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur. Un fait intéressant est à exploiter avec le débarquement des goélettes à fond plat à l’intérieur de ces deux baies. Un autre fait historique relatif à la navigation réside aussi dans l’appellation de la Coulée des Mâts, nommé ainsi pour l’utilisation des grands pins blancs qui y poussaient pour en faire des mâts de navires. De plus, la présence d’un phare au Cap de la Tête aux Chiens, qui commence maintenant à être restauré, nous amène à décrire ce passage de l’histoire de la navigation côtière du Saint-Laurent.

Description de la rive et accessibilité :

Secteur le plus sauvage de la côte. Très petite plage rocheuse entourée de parois. Accessibilité pour kayakistes précis, qui n’ont pas peur de cogner leur embarcation. Aucune accessibilité par la terre. Fragilité du site : Aire de concentration d’oiseaux aquatiques, un habitat faunique cartographié et protégé en 2007 en vertu de la Loi sur la conservation et de mise en valeur de la faune (ministère des Ressources naturelles et Faune Québec). Zone 2 (protection spécifique) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun, du béluga, du marsouin commun, du petit rorqual et observation exceptionnelle du rorqual commun. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit sites de Saint-Siméon compris entre Port-aux-Quilles et Baie-des-Rochers comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur. Un fait intéressant est à exploiter avec le débarquement des goélettes à fond plat à l’intérieur de ces deux baies. Un autre fait historique relatif à la navigation réside aussi dans l’appellation de la Coulée des Mâts, nommé ainsi pour l’utilisation des grands pins blancs qui y poussaient pour en faire des mâts de navires. De plus, la présence d’un phare au Cap de la Tête aux Chiens, qui commence maintenant à être restauré, nous amène à décrire ce passage de l’histoire de la navigation côtière du Saint-Laurent.

Description de la rive et accessibilité :

La plus grande baie sauvage de l’estuaire moyen, accessible par le quai et sa rampe de mise à l’eau. La baie est entourées de montagnes assez escarpées fortement rocheuses. Le conifère y domine, mis à part dans la Coulée des mâts et à l’Anse de sable. Le contour terrestre de la baie est un parc municipal, l’accès y est gratuit. Embarquement / débarquement facile puisque le secteur du quai est protégé de presque tous les vents (exception : Ouest et Nord-Ouest). Détail important : règle générale, la baie est submergée et navigable dans son ensemble à partir de 3h30 avant la marée haute jusqu’à 3h30 après la marée haute. Fragilité du site : Aire de concentration d’oiseaux aquatiques, un habitat faunique cartographié et protégé en 2007 en vertu de la Loi sur la conservation et de mise en valeur de la faune (ministère des Ressources naturelles et Faune Québec). Présence du Garrot d’Islande, une espèce de canard vulnérable. Marais importants de spartine et carex, divisé en 3 secteurs dans le bas de la Coulée des Mâts. Zonage temporel selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Zone 2 (protection spécifique) du 21/10 au 31/12 et zone 3 (protection générale) du 01/01 au 20/10. Présence du phoque commun. Échouerie de phoque gris et du Groenland sur les rochers au milieu de la baie. Pas d’autres mammifères marins étant donné la batture. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant les huit sites de Saint-Siméon compris entre Port-aux-Quilles et Baie-des-Rochers comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur. Un fait intéressant est à exploiter avec le débarquement des goélettes à fond plat à l’intérieur de ces deux baies. Un autre fait historique relatif à la navigation réside aussi dans l’appellation de la Coulée des Mâts, nommé ainsi pour l’utilisation des grands pins blancs qui y poussaient pour en faire des mâts de navires. De plus, la présence d’un phare au Cap de la Tête aux Chiens, qui commence maintenant à être restauré, nous amène à décrire ce passage de l’histoire de la navigation côtière du Saint-Laurent.

Description de la rive et accessibilité :

La plus sauvage des baies de l’estuaire moyen. Rivage rocheux tout autour de la baie. Grande batture (900m). Site archéologique datant d’avant Cartier. Fragilité du site : Aire de concentration d’oiseaux aquatiques, un habitat faunique cartographié et protégé en 2007 en vertu de la Loi sur la conservation et de mise en valeur de la faune (ministère des Ressources naturelles et Faune Québec). Au centre et en face de cette baie se trouve l’Île de L’échafaud aux Basques désignée comme colonie d’oiseaux, un autre habitat faunique cartographié et protégé. Zone 3 (protection générale) selon le plan de zonage du Parc marin Saguenay Saint-Laurent. Présence du phoque commun. Pas d’autres mammifères marins étant donné la batture. Thématiques du site (histoire, environnement, géologie, etc.) : L’endos de la carte couvrant le dernier site de Saint-Siméon (Anse du Chafaud aux Basques) ainsi que les cinq sites de Baie-Sainte-Catherine comportera un petit résumé historique et la toponymie du secteur. Des fouilles archéologiques dans l’Anse du Chafaud aux Basques ont démontrées que cette baie constituait un site d’occupation des pêcheurs basques qui date d’avant le passage de Cartier. Il s’agit du site témoignant de leur plus profonde pénétration à l’intérieur de l’estuaire du Saint-Laurent. De plus, un passage important, mais pas très connu de notre histoire s’est joué à la Pointe aux Alouettes à Baie-Sainte-Catherine. En mai 1603, François Gravé Du Pont et Samuel de Champlain, y rencontrent trois nations amérindiennes: les Montagnais, les Etchemins, et les Algonquins. Cette alliance interculturelle entre les amérindiens et les français est considéré comme le point de départ du peuplement de la Nouvelle-France.